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RE ♡

Anonymous
Invité
Dim 12 Jan - 12:08
Invité
elliot duval
featuring hwang hyunjin
nom, prénom, surnom : Le muscle des mots danse pour prononcer chaque syllabe qui le compose, Elliot. Sa mère voulait voir les gens sourire en articulant son prénom, elle l’a nommé ainsi pour pouvoir l’abréger d’un « Eli » qui contamine de son souhait toutes bouches qui le formulent. Duval a été largement remplacé par son pseudo Instagram « Blue Venus » en hommage à l’illustre Charles Baudelaire.

âge, date de naissance : Né le 10.07.98. il paraît que ceux nés sous le signe du cancer appartiennent à la lune, que leur élément l’eau, font d’eux des enfants à la sensibilité exacerbée et à l’imagination débordante. Créature marine dotée d’une carapace pour s’armer contre la surface. — ( 21 ans ) et la sensation que les aiguilles des montres sont sur avance rapide, le projetant dans un monde adulte où les carapaces font parfois office de palet sur glace.

lieu de naissance : Paris, là où on  « ne regrette rien » et où on voit « la vie en rose », où les princesses sont belles et aiment la littérature, où les châteaux possèdent mille reflets de splendeur et où les rois sont comparés à des soleils. Il a appris les fables de La Fontaine par coeur, a visité plus d’une fois le  Louvre et ses trésors et a trébuché dans le métro morose où les chanteurs donnent de la voix pour quelques centimes d’euros.

origines et nationalité(s) : Identité de brume avec ce manque d’accent étranger qu’on s’attendrait à ouïr d’un garçon au regard de demi-lune à l’horizontal. Son sang a la couleur de la Seine, elle l’a vu naître, a modelé sa langue de sa poésie, projetant une ombre gigantesque sur cette autre partie de lui elle aussi divisée, la Corée du sud.

statut civil et orientation : Maître dans l’art de la friendzone, Eli est célibataire. Sa gentillesse et son manque d’audace lui donnent un statut de confident qui lui colle à la peau. Douceur qui a tout de même attirée deux âmes à la sienne, une première petite-amie qu’il a eu à l’âge de seize ans. Leur histoire a duré une année scolaire, après ça elle a dû déménager dans le sud de la France et les fils qui les liaient l’un à l’autre sont alors tombés à l’eau un à un si profondément que même avec un attirail de plongeur aguerri, ils n’auraient pas pu les récupérer. Ensuite il y’a eu cette romance qui frôle la fiction, elle s’est éternisée et la douleur elle aussi à la fin, s’est éternisée. De longs mois s’écoulent avant qu’il ne considère s’être « remis » de cette rupture insolite. Il prend conscience qu’il est enfin libéré de cette affliction lorsqu’il se sent capable à nouveau d’éprouver des sentiments amoureux. Son myocarde s’épanche sur un canon de beauté, une Aphrodite qu’on ose à peine toucher avec le regard et c’est sans doute cette inaccessibilité qui lui plaît, trop loin du coeur pour pouvoir l’affecter. — Malgré les apparences Elliot ne sent son pouls s’accélérer que pour la gente féminine. Leurs courbes, leur complexité, la manière dont elles replacent leurs cheveux derrière leur oreille après avoir ri. Leur rouge à lèvres sur leur tasse de café ou encore leur fragrance qui après une étreinte imprime ses vêtements et sa mémoire... Il pourrait devenir poète pour l’une d’elles, des êtres de fascination.

métier, job, études : Gosse connecté, il a fait de son loisir son métier, du moins une partie. Il collecte les likes, partage ses photos de lui et des parures que lui envoie certaines marques avec lesquelles il travaille. Loin d’aspirer au mannequinat, il accepte les collaborations uniquement car elles boostent sa créativité. Des nouveaux décors et couleurs pour mettre en valeur du textile dispendieux auquel il donne vie en image, conteur numérique de belles histoires. Instagram c’est l’endroit où il laisse parler la partie de lui qui est aphone, son coin perso qu’il partage avec des milliers de subscribers mais ce n’est pas le centre de sa vie. Il étudie le journalisme, travaille en coulisse pour le journal Le Monde comme garçon de café parce que personne ne le prend au sérieux, lui le gamin rémunéré pour ses selfis.

situation financière : Classe moyenne, il n’a jamais manqué de rien mais n’avait pas forcément un nouveau cartable à chaque rentrée scolaire. Sur la table du petit déjeuner les héros sur les boites de céréales avaient une tête différente, celle de la marque repère mais tout ça c’était pour qu’il puisse avoir les baskets que tous les autres gamins avaient et qu’il puisse participer à toutes les classes vertes de l’école. Aujourd’hui il est à son propre compte, en colocation avec sa petite soeur de coeur dans appartement plus que correct et il continue d’avoir la valeur de l’argent inculquée par sa mère.

trigger warnings : ràs.


nintendo 64
famille & co

père : ( inconnu )  dans la bouche de sa mère il est mort mais la réalité commence à la rattraper.
mère : ( aurore duval ) bordée elle aussi par les cloches de Notre Dame, elle a dû tout comme son fils redresser la colonne face à toutes les vipères qui sifflent des rumeurs sur l’origine du père et l’origine même d’Elliot. On dit qu’il a été adopté parce qu’il a l’Asie au regard et qu'il n'a d'elle que ses mimiques, comme chaque enfant en a de ses parents. On dit qu’il était trop vieux pour l’assumer, qu’il avait déjà une famille et qu’Eli lui, était de trop. Ils spéculent parce que la vérité est trouble et qu’elle féconde l’imagination des indiscrets.
frère(s)/soeur(s) : ( ellin maurin ) dès qu'elle est entrée dans sa vie il l'a adoptée comme une soeur, ils ont été élevé ensemble et maintenant ils continuent de grandir à deux dans un Paris où ils essaient tant bien que mal de se faire une place.

parcours scolaire

école fréquentée : publique
diplôme(s) : Il a eu son brevet et son bac avec de très bonnes mentions, assez pour pouvoir gagner une bourse et accéder à la prestigieuse Sorbonne où il a obtenu une licence information-communication. Après avoir passé quatre mois en Angleterre dans le cadre de son stage, il revient à Paris pour entamer un master dans la même branche en se spécialisant dans le journalisme.  
situation actuelle : toujours en études.
langue(s) parlée(s) : le français maternel et l'anglais appris en autodidacte

santé et consommation

cigarettes : il a essayé pour les mauvaises raisons mais n'a jamais réitéré l'expérience.
alcool : de temps en temps pour se débarrasser de cette timidité encombrante et délier ses mots ainsi que son corps aux opportunités qu'il n'oserait même pas abordé en rêve.
drogues douces : parfois, parce que ça circule entre les mains de ceux avec qui il jouait en petite section.
drogues dures : jamais. y'a ce mec de sa classe avec qui il s'entendait bien, celui avec qui il passait les fins de soirées quand tout le monde était trop mort pour tenir une conversation sensée. ce mec là a fait une overdose un soir où lui avait décidé de rester chez lui. ça l'a remué d'apprendre sa mort, surtout d'entendre tous les détails dégueux post-mortem qu'on tait en général à la télévision. à lui seul, il lui a ôté toute velléité de reproduire ses erreurs.

télévision : la télé ne s'allume que sur les logos netflix ou youtube quelques heures par jour seulement, il arrive même qu'elle reste éteinte pendant plusieurs jours consécutifs.
ordinateur : beaucoup trop. c'est son outil de travail, ses pauses etc... s'il tombe en panne, lui aussi.
téléphone portable : extension de lui-même, celle qui rythme sa vie avec ses alertes pour son réveil, son emploi du temps et les rappels incessants. y'a aussi les notifications instagram, ses mails, ses messages, ses appels qui s'éternisent et cet oeil frontal pour les selfis qui capture un fragment de lui pour l'envoyer sur la toile et ainsi rappeler au monde qu'il existe.
réseaux sociaux : un gouffre chronophage.

régime : Il essaie de manger sain, frôle le végétarisme. Bouffe Instagram à se nourrir de smoothies, de porridges colorés et de cafés frappés. Il a le palais sucré, un faible pour les dragibus et toutes les confiseries qui filent des caries.

maladie(s)/handicap(s) : rien de particulier, excepté son allergie aux chats.

paris in the rain
caractère

persévérant
sensible
observateur
créatif
fan de celine dion
effacé


GARÇON OXYMORE C’est comme de nager, de se fatiguer puis de se noyer dans un esprit contusionné que d’essayer de comprendre. « Popular boy » entouré d’amis factices depuis la petite enfance, image haute définition d’un mensonge. Cet écho de vide constant s’amplifie en présence de ce filtre d’amitié dont il n’arrive pourtant pas à se détacher. La mauvaise habitude qui a la dent dure, celle d’être celui dont ils ont besoin sans attendre qu’ils le soit pour lui en retour ou encore d’être cet alibi du samedi soir parce qu’il est resté ce gamin sage que leurs mères aiment qu’ils fréquentent… Il suffirait qu’il claque la porte, qu’il donne voix à tout ce qu’il a tu pendant toutes ces années mais y’a leurs noms qui s’affichent sur son smartphone à 4 a.m alors il se doit de répondre, peut-être que c’est vraiment important cette fois ou peut-être qu’ils l’appellent pour lui rappeler que lui il l’est, important. CATFISH L’amour c’est compliqué, surtout quand il a des formes de pixels, qu’il est intangible au toucher mais qu’il l’est dans la cage et qu’il prend tellement de place qu’il peut la déformer. C’est ce qui est arrivé à Elliot, une love story 2.0 qui a commencé à affecter son quotidien. Visage ébloui par son écran à toutes heures du jour et de la nuit, sourire qui en chasse un autre à chaque nouveau message. Bref, une romance qu’on a constamment sur soi dans la poche intérieure de sa veste pour en ressentir la moindre vibration. De longs mois se sont succédés avant que le mirage « Clara » révèle son vrai visage. Un manque de confiance en soi l’a poussée à maquiller la vérité : son prénom, ses études, ses photos… Jusqu’à sa propre identité sexuelle. Dévasté, Elliot a malgré tout encaissé la révélation avec une bienveillance qu’il a fini par regretter, ravalant sa propre douleur pour colmater la culpabilité de ce qui est devenu à ses yeux, un total inconnu. Il a mis beaucoup de temps à se remettre de cette rupture que très peu prenait au sérieux. Cet épisode de sa vie l’a marqué et a fait naître cette nouvelle pièce d’incrédulité où la confiance se gagne au prix d’or. TALK TO MYSELF Il vocalise ses pensées quand il est seul ou tourmenté. Sa langue fatigue pour évacuer tout ce que sa tête accumule en trop, parfois jusqu’à lui porter préjudice. Les « surtout dis pas merci connard » qui glissent hors de lui à l’attention d’un collègue désagréable ou les « comme si j’en avais quelque chose à foutre » marmonnés avec agacement auprès d’une tante envahissante… Tant de petits commentaires qui passent entre les filets de ses dents, qui mettent en lumière sa part d’ombre. ELLIN Poupée indocile enveloppée de ce ruban jaune « crime scene do not cross » pour tenir à distance tous les imprudents qui tenteraient la folie de la traverser. Elliot a grandi avec elle, s’est enroulé dans sa barrière de façon si naturelle que c’est comme s’il y avait toujours eu une place rien que pour lui. Elle est sa première amie, ses premiers secrets, son premier baiser. Elle est cette étoile qui lui sert de repère quand il est perdu, qu’il aime étreindre quand à son tour elle s’égare. Leur relation va au-delà de l’amitié, elle est sa famille. LEON Un jeune avec des goûts couleur sépia : Léon ; la musique classique ; les pièces de théâtre ; les musées d’art contemporain ; les fleurs du mal ; les vieilles bagnoles qui râlent quand on les démarre ; les besaces vintage achetées en friperie et le papier journal qu’il déplie sur ses genoux dans le métro quand il est encore trop tôt. VERONICA Après avoir essuyé quatre échecs consécutifs, Eli a finalement réussi à obtenir son permis de conduire. Quand il raconte la scène il dit qu’il a eu une espèce d’absence, l’impression que quelqu’un d’autre que lui s’était emparé du volant pour lui décrocher ce foutu permis. Depuis ce jour, le petit bout de papier plastifié est resté caché quelque part dans sa chambre. Angoissé de la route mais amoureux des vieilles voitures, il a économisé longtemps pour en posséder une, Veronica. Elle est belle, garée en bas de chez lui à l’attendre. Parfois il s’amuse à monter dedans et à faire semblant, il boit son café une main sur le volant avec la radio en fond et la fenêtre baissée pour y laisser pendre son bras. Trop anxieux à l’idée de vivre ses derniers instants avec elle en l’envoyant dans le décor il la laisse à sa place, celle sous les arbres qui la décorent au gré des saisons. SNAKE la rancune c’est un vieux combat qu’il a depuis longtemps perdu, il y’arrive pas même quand il voudrait mais surtout quand il devrait. Il trouve des excuses toutes faites pour ne pas avoir à nourrir de mauvais sentiments, à toujours chercher le bien chez les gens il finit par leur inventer des qualités qu’ils n’ont pas pour pouvoir plus facilement leur pardonner, passer à autre chose puis recommencer. MESSY FAMILY Foyer qui détonne avec deux mères en guise de racine, la sienne d’abord, Aurore. Celle qui a le sourire discret, les conseils avisés et la voix douce d’une menteuse dont on boit les mots jusqu’à l’ivresse. Puis y’a Min Joo, sa meilleure amie qui l’a élevé comme s’il était son propre fils et évidemment Ellin, sa fille qu’il s’est empressé d’aimer comme une soeur. La suite ? Des zones d’ombre à l’opacité tenace, il a essayé d’en apprendre plus sur son père du moins, au début. Quand Aurore prenait encore la peine d’inventer un personnage fictif qu’il serait susceptible d’aimer. Ses questions se sont faites rares à partir du moment où elle a décidé que le héros avait quitté leur monde alors Elliot a quitté le sien, préférant l’enterrer avec en mémoire les beaux mensonges de sa mère qu’une vérité qu’il ne serait pas capable de surmonter. LIAR c’est peut-être héréditaire cette faculté innée pour le mensonge, il enrobe les mots dans un écrin de velours et plus c’est gros, plus les gens y croient sans qu’il puisse être capable de l’expliquer. Il ne cille pas, n’a pas de toc capable de le trahir, ça s’écoule hors de lui aussi naturellement que de l’eau d’une rivière. C’est lui qui était chargé de mentir aux professeurs pour expliquer le retard d’un de ses amis ou d’appeler un parent inquiet quand encore une fois l’un d’eux avait découché pour une raison x ou y. Savoir mentir est une chose, réprimer ses remords c’en est une autre et lui, en est juste incapable.   FUN FACTS Dès qu’on lui propose une danse il décline d’un « désolé, je sais pas très bien danser. » — Il croit aux mystères, aux diseuses de bonnes aventures et au destin qui lie les êtres entre eux. — Petit il a fait de la pub pour un yaourt, depuis la réplique lui colle à la peau. — Il s’est déjà marié avec Ellin. Ils avaient sept ans, c’était à la cour de récrée. — Les boites de nuit c’est pas pour lui, il préfère l’intimité d’une soirée à la maison ou la convivialité d’un bar de quartier. — Il a du mal avec ce mot « non » alors il s'en prive. — Il a une plante verte, comme celle dans le film Leon. Il l’arrose avec autant de tendresse que le sentimental tueur à gages du grand écran. — En rentrant chez lui hier soir, il jure avoir vu Orelsan à sa sortie de métro. ( si si, il jure que c’est vrai ! )  
shadow

âge : 24 ans  région :  alsace fréquence de connexion : un peu, très, souvent, bcp, là  RE  ♡ 605273759 type de personnage : inventé. crédits : wanderer autre commentaires ? : dsl d'avoir mis une plombe à reposter <3
Anonymous
Invité
Dim 12 Jan - 12:09
Invité
JTMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMM
Anonymous
Invité
Dim 12 Jan - 12:09
Invité
RE  ♡ Tenor
Anonymous
Invité
Dim 12 Jan - 12:10
Invité
c'est bouclé !

bienvenue chez toi !

NOTES DE LA REDAC › comme t'as dit : re RE  ♡ 3128821644
MAINTENANT QUE TU ES VALIDÉ.E... › Tu peux d'ores et déjà poster ta fiche de liens et tisser de nouvelles amitiés avec d'autres personnages, c'est essentiel. Ou alors en créer toi-même en créant un scénario ou des pré-liens ! Eventuellement, tu peux aussi créer un journal de bord pour garder une trace de l'évolution de ton personnage. Ce dernier, s'il est ultra-connecté, aura aussi besoin d'un téléphone portable pour rester en contact avec ses amis, d'un instagram pour poster ses selfies, un compte twitter pour partager sa vie, et peut-être bien un tinder pour trouver l'amour ? Enfin, il aura besoin de vivre la vraie vie, pas celle dans son petit boîtier électronique ; c'est dans les demandes de rps qu'il pourra peut-être trouver son bonheur. Dans tous les cas, nous te souhaitons une bonne aventure sur le forum, et officiellement la bienvenue chez toi. RE  ♡ 2829341976
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