oh my god, they killed kenny

kenny salvain
featuring finn wolfhard

nom, prénom, surnom : salvain, c'est moche, il est au courant, merci de le rappeler. il sait pas trop d'où ça vient exactement, mais ça l'intéresse pas non plus de le savoir. kenneth, toujours raccourci en kenny ou encore ken, parce que c'est connu, il a besoin d'une barbie. il trouve que ça lui va pas, ce nom. mais c'est pas comme s'il avait eu le choix.

âge, date de naissance : 19 ans au compteur. né un 13 avril 2000, il est bélier, pas que ça change un truc à sa vie.
lieu de naissance : marseille, la fameuse, l'ensoleillée. la puante aussi. parce qu'il aime pas marseille tant que ça. il aime pas beaucoup de villes en fait. mais encore moins marseille. il a failli mourir noyé plus d'une fois, là-bas. c'est comme si la ville avait une dent contre lui. l'eau aussi, quand on y pense.

origines et nationalité(s) : origines françaises et anglaises, merci maman. pour frimer devant les autres, ça sert. le reste du temps, beaucoup moins. il parle bien anglais, mais pas merci maman, sur ce coup.
statut civil et orientation : il a une copine. une belle fille qui rendrait son père fier. ça va faire plus d'un an qu'ils sont ensembles. pourtant, c'est pas les filles qui l'attirent. c'est pas une fille qu'il va embrasser quand il boit un peu trop. mais non, il n'est pas... gay. ce mot le dégoûte. pas qu'il soit homophobe, il a un ami gay. enfin, avait. mais il s'horrifie à l'idée d'en être un. il se l'avouera sûrement un jour, mais pas pour le moment. trop tôt.

métier, job, études : toujours au lycée, en terminale std2a. l'art appliqué, y a que ça de vrai. il sait pas vraiment ce qu'il veut faire. peut-être qu'il deviendra prof d'art ou graphiste. qui sait ? pas lui en tout cas.

situation financière : il n'a pas à se plaindre. il ne dirait pas que sa famille est riche, mais pas loin. si on lui demande, il répondra aisée, en sachant que c'est de la fausse modestie. toujours à manger sur la table, de beaux vêtements, ce qu'il veut quand il le demande. pas qu'il le fasse, demander, mais on ne se sert plus la ceinture en fin de mois depuis des décennies, chez les salvain.
trigger warnings : homophobie (intériorisée et de la part des parents), alcool

iphone

famille & co

père : aymeric salvain, 39 ans, médecin devenu sans frontières il y a quelques années. quand il n'est pas à l'étranger, il est dans sa grande maison dans le sud de la france. il voulait un garçon, dur, couvert de boue, qui fait du sport. sauf qu'il a eu kenny à la place. homophobe quand le contexte s'y prête, il a toujours dit à son fils qu'il ne voulait voir sa langue danser qu'avec celle d'une fille.
mère : sally warner, 36 ans, scénariste assez connue dans le milieu des comédies musicales. elle ne voulait pas d'enfant et une grossesse surprise où avorter n'était pas une option n'a rien arrangé. elle est partie s'installer près de broadway et ne revient dire bonjour qu'au moment des vacances de Noël, histoire de rappeler de son existence. il lui arrive même d'apporter un cadeau. enfin, quand elle y pense...
frère(s)/soeur(s) : pas de frères, pas de soeurs, merci bien. c'est déjà assez le bazar avec un seul enfant.

parcours scolaire

école fréquentée : ses années de primaire, elles se sont passées dans une école privée à marseille. celles du collège, privé encore une fois, il les as passées autour de montpellier, quand son père était encore un simple médecin. mais arrivé le lycée, il est parti à paris, vivre avec les vieux salvain. lycée privé, filière std2a. lui demandez pas pourquoi il est toujours dans des établissements privés, il en a aucune idée. il est même pas croyant.
diplôme(s) : le brevet, et c'est déjà pas mal. s'il avait pas décidé de partir pendant plus de la moitié d'une année, il aurait eu son bac. sauf qu'il en fait qu'à sa tête.
situation actuelle : toujours au lycée, le cul sur une chaise à attendre que ça sonne. des fois il se demande pourquoi il y est encore.
langue(s) parlée(s) : l'anglais, le français, un peu d'italien, il apprend la langue des signes quand il s'ennuie. et si ça compte, il parle fourchelangue quand mojito le lapin fait une bêtise.

santé et consommation

cigarettes : même pas en rêve il y touche. "la clope, ça pue" qu'il dit. jamais on lui en foutra une dans la bouche. c'est le genre à tousser bien fort juste pour te faire éteindre ton bâton de nicotine.
alcool : il boit en soirées. et un peu avant, et un peu après aussi. il aime pas particulièrement ça, mais ça lui fait du bien. il tente d'arrêter depuis l'incident de la dernière fois. et celui d'avant. mais il a découvert que sa volonté est pas la chose la plus puissante au monde.
drogues douces : il ne touche pas aux cigarettes, mais s'il devait se mettre à fumer, ce serait des joints. de l'herbe. des pétards. la pelouse. appelez ça comme vous le souhaitez, ça l'empêchera pas d'y goûter.
drogues dures : un peu méfiant. il n'a rien testé pour l'instant et sait que ça peut toujours changer. mais non merci, pas pour le moment. pas avant qu'il ait eu son bac. après, c'est autre chose.
télévision : il ne la regarde presque plus. ça le déprime de regarder les infos, jamais de bonne nouvelle, que de mauvaises. alors autant la laisser éteinte, cette foutue télé.
ordinateur : il est devant plus souvent que la télé. il le prend pour les cours, accompagné d'une tablette graphique offerte par lui-même à lui-même. il préfère pas compter les heures passées devant, ça ferait peur. surtout qu'il sait pas compter.
téléphone portable : il ne lui sert à rien. il doit être allumé 5h par jour à tout casser. un message, un appel, un petit tour sur les réseaux, et c'est fini. ne tentez pas de l'appeler, cherchez le. ce sera plus simple pour lui parler.
réseaux sociaux : 4h au maximum, il y va surtout le soir pour passer le temps. ou alors pour poster un truc sur instagram ou snapchat pendant les cours. il a un compte où il poste ses dessins mais il update tous les 60 du mois et les années trissextiles.

régime : en général, il mange de tout. sauf que, depuis peu, il tente de réduire sa consommation de viande. alors il est devenu une sorte de végétarien qui continue de baver devant les affiches de mcdo. si un nuggets tombe dans sa bouche pendant qu'il parle, techniquement, il l'a pas mangé, si ?
maladie(s)/handicap(s) : aucune en sa connaissance. il a peut-être un truc caché mais si c'est le cas, il est pas au courant et ne veut pas l'être.

I'm so typical, my life ain't difficult

psychologie et caractère

joueur

peureux

créatif

menteur

calme

impulsif

o1. adore les jeux vidéos, mais pas les trucs barbares et sans histoire o2. incapable de refuser un défi, il ne connaît pas ses limites o3. a un besoin constant de plaire aux autres o4. fan ultime de south park, même si ça ressemble à une mauvaise blague o5. est littéralement le dernier à connaître son orientation sexuelle (enfin. il ne la connait pas encore) o6. contrairement aux apparences, est un très bon élève o7. se méfie de l'eau plus que de l'alcool o8. va à l'église pour avoir bonne conscience o9. redécore sa chambre tous les ans 1o. adore travailler pendant l'été, ça lui donne l'impression d'être indépendant

will / dekamie

âge : 17 yikes région : quelque part vers le sud fréquence de connexion : variable mais au moins une fois par semaine type de personnage : inventé. crédits : mercure (bazzart) autre commentaires ? : j'pensais pas me remettre au rp, mais j'suis faible pour ce fo'

It was a joke guys, come on I'm not gay

(crédit : bandit rouge)
si sally avait été proche de son fils, elle lui aurait donné un seul et unique conseil. réfléchis bien aux conséquences de chacune de tes actions. conseil que kenny n'aurait, pour ainsi dire, jamais suivi. mais sally aurait eu une bonne raison de partager cela. et la raison se serait trouvé devant ses yeux. cette petite tête aux cheveux bouclés. elle n'aurait pas dû être là, cette tête, si sally avait suivi son propre conseil. mais elle était jeune et stupide, pour sa défense. elle avait à peine fini le lycée, elle voulait simplement fêter ça. sauf qu'elle est tombé sur aymeric. et ça a complètement dérapé. elle n'avait pas bu, lui non plus. mais les coups d'un soir, tout le monde connait. grossesse invisible. rien n'aurait pu lui faire comprendre ce qui se passait. jusqu'à un rendez-vous chez sa gynécologue, cinq mois après le rapport, et cette phrase qu'elle n'aurait jamais voulu entendre. trop tard pour avorter. elle serra les dents en répétant qu'elle n'en voulait pas, de cet enfant. aymeric avait proposé de le garder, qu'elle parte quand elle le voulait. et l'accord était fait. sally n'était pas faite pour être mère, plus une tante sympa que tu vois aux anniversaires et à noël. kenny est né, 13 avril de l'année 2000. sally a quitté ce jour là, deux ans après.
ken, on a dit quoi à propos des murs ? aymeric le regarde de haut. le petit se recroqueville et cache ses mains pleines de peinture dans son dos, oubliant que son visage en est aussi couvert. il a besoin d'exprimer son âme d'artiste. les feuilles de papier ne sont pas assez grandes pour cela. il a besoin de peindre le monde. c'est ce qu'il veut faire. et manger les crayons gras, aussi. parce que ça a un drôle de goût, ces trucs. sur ses dessins, kenny ne dessine jamais de maman. c'est toujours papa et lui. il sait que, sur les papiers, elle existe, c'est elle. mais pas dans son coeur. il la voit trois fois dans l'année, les bonnes années. mais ça reste une inconnue. il n'arrive pas à se souvenir de son nom ou même de son visage, à 4 ans. il l'appelle madame quand elle vient.
tu verras, c'est drôle, tourne la bouteille ! non, c'est pas drôle. pas pour kenny, à 8 ans. et toujours pas à 19 quand il y repense. il a fait semblant de rire, sur le moment, mais c'était pas drôle. même quand les lèvres de la petite cindy, deux ans de plus que lui, un chewing-gum toujours dans la bouche, une voix de poissonnière et une montagne de cheveux blonds, se sont écrasées contre les siennes. c'était pas drôle non plus quand le destin lui en a voulu et la bouteille est retombée sur lui. quelques secondes après, il embrassait un garçon dont il ne connaissait même pas le nom. il ne rigolait toujours pas, quand quelqu'un a mis son père au courant. quand il est devenu aussi effrayant que ce film, avec la fille aux yeux boutons et sa mère qui se change en araignée. kenny, il trouvait pas ça très drôle les baisers. aujourd'hui non plus, d'ailleurs...
il a souvent déménagé, kenny. après que sally soit venue habiter un an et demi avec eux avant de repartir, aymeric a décidé de partir vers montpellier. tant mieux. kenny, il aimait pas marseille. surtout que les autres enfants s'amusaient à le noyer pendant les cours de natation parce qu'il nageait mieux qu'eux. depuis il a peur. jamais vous le verrez dans une piscine ou en contact avec l'eau dans autre chose qu'une baignoire. et ça dépend de la profondeur de la baignoire. mais montpellier, c'était mieux. il avait quelques amis. et du succès auprès des demoiselles. ça faisait plaisir à son père ça, mais lui, il est jamais sorti avec l'une de ces filles. pas son style, qu'il répondait. avec son père, il y avait souvent des disputes. pas très importantes. le plus vieux voulait un garçon, un vrai. qui aurait pas peur de se salir, qui rentrerait plein de boue et sans vernis sur les ongles. kenny, lui, voulait juste l'acceptation de son père. puis il avait quoi contre le vernis noir, le vieux ? c'est super cool, qu'est-ce qu'il dit ?
je vais vivre chez papi et mamie. ce sera mieux pour mes études. le père a pas compris. il comprend toujours pas. il le répète à chaque réunion de famille. mais ça n'a pas empêché kenny de partir. partir aussi vite que son train le lui a permis. il revient à montpellier pour les vacances, quand le vieux est là. et des fois la quasi inconnue vient dire bonjour. mais tout ça, tous ces problèmes, ces désaccords, ça dérange pas kenny. il préfère cette situation. il a pas de comptes à rendre. il est bien, avec ses grand-parents. ils l'aiment, le chérissent, le respectent, l'acceptent. il ne peut même pas imaginer à quel point ils l'acceptent. au lycée, il se débrouille bien. on est fier de lui sans qu'il fasse de gros efforts. il a sa bande, une ribambelle d'amis qui se réunissent tous les mercredis autour d'un chocolat, leur donnant leur nom, le cocoa crew. il se voit déjà plus sans leur compagnie. leurs différences renforcent leur union.
c'est au lycée qu'il l'a rencontrée, à la fin de son année de première. mieux vaut tard que jamais, dit-on. il passait devant elle tous les jours mais ne l'a vue qu'à la fête du lycée. eden, qu'elle s'appelait. elle avait des cheveux coupés courts, d'un roux formidablement enflammé. échange d'username, et à la rentrée, ils étaient ensembles. sauf qu'elle n'était plus là. partie vivre en amérique pour une raison idiote. il lui parlait tous les soirs. il aurait voulu la revoir. il attendait une raison pour la rejoindre à new york.
et sa raison arriva pendant une soirée. il avait pris les verres qu'on lui tendait sans regarder ce qui se trouvait dedans, les buvait cul sec. il enchaînait les bières et les shots. aucune idée de ses limites. aucun souvenir de la soirée. réveil chaotique dans une baignoire. il était trempé, couvert d'un truc gluant qui aurait pu être du vomis, avait perdu quelques vêtements en chemin et un visage inconnu et effrayé faisant les cent pas à côté de lui. un garçon dont il se souvenait vaguement du nom, ça commençait par g et y avait un r dedans quelque part. il pleurait, marmonnait à propos d'un coma éthylique, d'une mort jusqu'à ce que kenny se mette à bouger et parler, la bouche pâteuse et les membres lourds. f'froid, bordel. à voir l'autre, on aurait pu penser que kenny venait de ressusciter. la soirée suivante, il se réveilla dans un lit défait, dans les bras d'un autre garçon qui empestait l'herbe. enfin, sentait, parce que kenny trouvait pas cette odeur si horrible comparée à celle de la clope. il se souvenait vaguement d'une partie d'action ou vérité, kenny, embrasse la personne la plus attirante de la soirée, de lèvres alcoolisées sur les siennes, de cris d'étonnement, de répétitions du mot gay, gay, gay et de flash aveuglants. il en a été malade pendant une semaine, de ces souvenirs.
quand les photos ont commencé à être partagées, quand les gens ont commencé à chuchoter son nom dans les couloirs, suivies de près par le mot en G, il a décidé que c'était une assez bonne raison pour rejoindre eden à l'autre bout du monde. après un appel rapide à son paternel, qui approuva rapidement dès qu'il mentionna l'existence d'eden, il n'avait probablement pas si bien écouté la demande que ça, kenny éclata sa tirelire contre un mur, acheta un billet d'avion et prit son envol. la colère des grand-parents était redoutable.
new york, c'était pas son délire. trop simple de se perdre, trop de personnes. mais il y avait eden. eden qui se rasait les cheveux toute seule. eden qui semblait tout faire briller autour d'elle. eden qui effaçait les soucis avec ses sourires. eden qui ne devait surtout pas être au courant de ce qui se passait en france, à paris. kenny ne voulait pas repartir. après plusieurs mois à partager un lit, il ne s'imaginait plus quitter cette source de chaleur nocturne. mais il savait qu'il devait le faire. en mai, il est rentré. on lui a demandé où il était pendant tout ce temps, s'il était mort, juste pour faire cette blague à la con. il répondait, souriant, à new york, avec ma copine. c'est comme s'il revenait en remportant une guerre, plus personne ne parlait de lui en "mal". plus personne ne pensait aux événements de la soirée, ou au moins n'en parlait. il a raté son bac, évidemment. et ses amis lui ont fait la gueule pour sa disparition, sont tous partis à la fin de l'année scolaire sans un regard, sans un mot. mais on lui a laissé une chance de refaire sa dernière année, alors il a recommencé. c'est qu'il avait pas d'autre choix.
19 ans. bordel, qu'il se sent vieux. on lui demande ce qu'il veut faire, il répond qu'il veut dessiner. avec le départ du cocoa crew, il se sent seul. il ralentit sur les soirées et l'alcool, il s'ennuie. il a plus rien d'intéressant à faire. plus personne ne vient lui parler. il croise l'un des garçons de la soirée, des fois. mais jamais il n'ira lui taper la discut'. quand on manifeste pour le climat, c'est lui qu'on entend crier le plus fort. il a décidé d'être délégué de classe, cette année, une bien mauvaise idée pour la dite classe. il tente d'apprendre la langue des signes et le ukulele, mais ça foire un peu pour le second. il est devenu père d'un lapin nommé mojito, en hommage à son semblant d'abstinence. il passe tellement de temps dans les musées que les guides lui proposent d'aller boire un thé. son sac est recouvert de dessins depuis septembre, y a plus de place pour quoi que ce soit d'autre. on lui demande quand il s'est fait tatouer, tellement ses bras sont pleins de feutre, de peinture, d'art, d'ennui. un peu plus et il se met à la couture, vous êtes prévenus !

kenny a écrit:: ce mot le dégoûte. pas qu'il soit homophobe, il a un ami gay.

je suis au sol.
superbe kenny, superbe fiche (le dernière paragraphe flirt

)

bienvenue oh my god, they killed kenny 2829341976

Citation :: pas qu'il soit homophobe, il a un ami gay.

ah ben ça pardonne tout ça, toujours oh my god, they killed kenny 1218392498

(watch tout l'monde te sortir cette citation parce qu'elle est bien marrante)

bienvenue à la maison, p'tit gars oh my god, they killed kenny 2634012968

J'crush sur Kenny, bienvenue, je voudrais un lien, la bise oh my god, they killed kenny 3285312048

merci bien, j'étais sûr que le coup de l'ami gay allait marcher oh my god, they killed kenny 44470285

et @thibault alisier pour le lien, c'est avec plaisir. t'as l'embarras du choix, au moins >.>

ptdr l'orientation
bienvenue au club gars camille te donnera des cours
je pense qu'on peut avoir un vrai lien tip top !!!
bienvenue oh my god, they killed kenny 3857485274

le titre

mais j'aime cette fiche, j'aime la plume !
bienvenue sur le forum I love you

c'est bouclé !

bienvenue chez toi !

NOTES DE LA REDAC › alors je le répète, mais bienvenue à la maison mon chou oh my god, they killed kenny 1551801333

kenny est tellement attachant ? oh my god, they killed kenny 2056541745

ça a été un véritable plaisir de lire cette fiche, ta plume est super fluide, on accroche à ton histoire, on veut limite que tu nous en dise plus encore... oh my god, they killed kenny 3857485274

pauvre petit chat, j'espère vraiment qu'un jour il arrivera à s'accepter et s'aimer comme il est. oh my god, they killed kenny 2829341976

MAINTENANT QUE TU ES VALIDÉ.E... › Tu peux d'ores et déjà poster ta fiche de liens et tisser de nouvelles amitiés avec d'autres personnages, c'est essentiel. Ou alors en créer toi-même en créant un scénario ou des pré-liens ! Eventuellement, tu peux aussi créer un journal de bord pour garder une trace de l'évolution de ton personnage. Ce dernier, s'il est ultra-connecté, aura aussi besoin d'un téléphone portable pour rester en contact avec ses amis, d'un instagram pour poster ses selfies, un compte twitter pour partager sa vie, et peut-être bien un tinder pour trouver l'amour ? Enfin, il aura besoin de vivre la vraie vie, pas celle dans son petit boîtier électronique ; c'est dans les demandes de rps qu'il pourra peut-être trouver son bonheur. Dans tous les cas, nous te souhaitons une bonne aventure sur le forum, et officiellement la bienvenue chez toi. oh my god, they killed kenny 2829341976